Un beau score aux interclubs

11.05.2016

En ce dimanche 8 mai, les athlètes trélissacois au sein de l'EPSTA ont participé à la brillante 3ème place de ce 1er tour des Interclubs de la Division Nationale ... sur la même piste que les champions et en particulier ce dimanche, Pierre Ambroise Bosse sur le 800m.

L'EST est fière de ses athlètes et salue leurs performances.

Il faut en particulier noter l'engagement de ceux qui n'ont pas nécessairement autant de talents que les autres mais qui persévèrent et donnent aussi le meilleur d'eux-mêmes.

Cette année, de nouvelles têtes pointent leur nez aux interclubs:

- Zoe Traccard sur le 100m Haies (18"82) et le triple saut (9m18)

- Lilian Raffin au triple saut avec 11m53

- Souane Stenegrie avec 19m98 au disque

- Ocean Girard de Langlade au marteau projeté à 28m58

- Baptiste Mignon à la perche et ses 3m20 dont l'évolution met en exergue la collaboration avec le CAP au sein de l'EPSTA.

Il y a encore et toujours les valeurs sûres, Laurine Boizet, les deux frères Vallance Vincent et Clément (2568 points à eux deux!!), Quentin Legeay, Alexis Le Mouillour, Arthur Le Mao, Antoine Bonnet ou encore Allan Haegman auteur d'un remarquable 200m en 23"15 malgré 2,2 m par seconde de vent contraire et Nicolas Catterou, bien vaillant sur son 5000m Marche.

Il faut aussi noter la présence à Bordeaux de ceux qui sont un peu éloignés temporairement de leur attaches périgourdines comme Aurore Goigoux qui réussit encore 70"96 sur 400m Haies (une vocation ratée?).

Une année encore, preuve qu'il reste un peu de chemin, quelques "anciens" ont encore rendus de grands services, Marie-Laure Carré au javelot et Pierre Mazeau au marteau.

La meilleure contribution a été apportée par Josselain Barrellon Verrnay sur le 800m étoilé avec 1'56"88.

Enfin, il faut le souligner, la contribution de Marie-France Legeay au jury longueur est un élément indispensable au succès de l'EPSTA. Pour mémoire, il faut des juges diplômés pour valider totalement les performances des athlètes et ne pas avoir de pénalités.

Gaetan, sur les traces du geste parfait